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Résultats FC Barcelona
19/03/2006 23:32
Résultats
1 Dimanche 28 août Alavés 0 - 0 FC Barcelone
2 Dimanche 11 septembre FC Barcelone 2 - 0 Majorque
3 Dimanche 18 septembre At. Madrid 2 - 1 FC Barcelone
4 Mercredi 21 septembre FC Barcelone 2 - 2 Valence
5 Dimanche 25 septembre Betis S. 1 - 4 FC Barcelone
6 Dimanche 02 octobre FC Barcelone 2 - 2 Saragosse
7 Dimanche 16 octobre Deportivo 3 - 3 FC Barcelone
8 Dimanche 23 octobre FC Barcelone 3 - 0 Osasuna
9 Dimanche 30 octobre FC Barcelone 5 - 0 Real Sociedad
10 Dimanche 06 novembre Getafe 1 - 3 FC Barcelone
11 Dimanche 09 novembre FC Barcelone 2 - 0 Malaga
12 Dimanche 20 novembre Real Madrid 0 - 3 FC Barcelone
13 Dimanche 27 novembre FC Barcelone 4 - 1 Racing S.
14 Dimanche 04 décembre Villarreal 0 - 2 FC Barcelone
15 Dimanche 11 décembre FC Barcelone 2 - 1 Séville
16 Dimanche 18 décembre Cádiz 1 - 3 FC Barcelone
17 Mercredi 21 décembre FC Barcelone 2 - 0 Celta V.
18 Dimanche 08 janvier Espanyol B. 1 - 2 FC Barcelone
19 Dimanche 15 janvier FC Barcelone 2 - 1 Athletic B.
20 Dimanche 22 janvier FC Barcelone 2 - 0 Alavés
21 Dimanche 29 janvier Majorque 0 - 3 FC Barcelone
22 Dimanche 05 février FC Barcelone 1 - 3 At. Madrid
23 Dimanche 12 février Valence 1 - 0 FC Barcelone
24 Dimanche 19 février FC Barcelone 5 - 1 Betis S.
25 Dimanche 26 février Zaragoza 0 - 2 FC Barcelone
26 Dimanche 05 mars FC Barcelone 3 - 2 Deportivo
27 Dimanche 12 mars Osasuna 2 - 1 FC Barcelone
28 Dimanche 19 mars Real Sociedad 0 - 2 FC Barcelone
29 Mercredi 22 mars FC Barcelone - Getafe
30 Dimanche 26 mars Malaga - FC Barcelone
31 Dimanche 02 avril FC Barcelone - Real Madrid
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Victoire du FC Barcelone face à la Real Sociedad
18/03/2006 23:42
18 mars - Actualité - Liga - FC Barcelone
Le FC Barcelone est allé s’imposer sur la pelouse de la Real Sociedad. Les Catalans ont ouvert la marque grâce à Henrik Larsson et Samuel Eto’o est venu achever le travail. 0-2, le Barça reste le grand leader.
Mikel Alonso fut le premier à ouvrir les hostilités avec une première frappe dès la 2ème minute de jeu. Sa frappe fut cependant bien captée par Victor Valdés. On le sentait, la Real Sociedad voulait créer rapidement le danger dans le premier quart d’heure.
Mais c’est plutôt le contraire qui se passa puisque le Barça répliqua avec efficacité 5 minutes plus tard. Après une bonne passe de Samuel Eto’o, Ronaldinho lançait Henrik Larsson, parti à la limite du hors jeu. La frappe du suédois ne trembla pas face au gardien Alberto : 0-1 pour le Barça!
Ce but marqué d’entrée de jeu permit aux Catalans de poursuivre avec plus de sérénité la suite de la partie. Il faut dire que la Real Sociedad, certes un peu sonnée après cette première réalisation, faisait plutôt bonne figure en ce début de match.
Néanmoins, les Barcelonais contrôlaient de plus en plus le match avec une possession de balle écrasante (plus de 70%). Une tranquillité qui aurait pu être distraite à la 12è minute lorsqu’une frappe de Skoubo toucha le montant avant que Victor Valdés ne puisse récupérer le ballon.
Jusqu’à la demi heure de jeu, les joueurs Basques ont inquiété de nombreuses fois leur adversaire en provoquant de nombreux coups de coin et en se créant pas mal de bonnes occasions. Mais c’était sans compter le rythme des Barcelonais qui allait crescendo.
Enfin, signalons qu’au terme de la première période Ronaldinho joua rapidement un coup franc pour décaler intelligemment Samuel Eto’o. Malheureusement, la reprise de l’attaquant camerounais fut détournée magistralement par Alberto.
Blessure de Marquez
La (très) mauvaise nouvelle de ce premier acte est la blessure de Rafael Marquez. Le défenseur azulgrana souffrait de douleurs à la jambe et du céder sa place à Andres Iniesta à la 16è minute. Edmilson, jusque là en position de milieu défensif, recula en défense centrale.
Eto’o double la mise
Barcelone débuta en trombe la seconde période et c’est via son Pichichi que l’équipe doubla la mise. A la 50è minute, un frappe croisée de Van Bommel ricocha sur le poteau droit d’Alberto mais, attentif, Samuel Eto’o repoussa le ballon au fond des filets. 0-2, el break était fait !
Le Barça tenait sa victoire et il n’allait pas la lâcher. Les trois points étaient capitaux ce soir et les hommes de Frank Rijkaard, malgré quelques faiblesses en défense, ont très bien négocié ce match.
A 20 minutes du terme, Ludovic Giuly monta à la place d’Henrik Larsson qui semblait s’être légèrement fait mal. Le Suédois est sorti en boitillant. Dix minutes plus tard, ce fut à Deco de laisser sa place à Sylvinho. Le milieu de terrain portugais n’a pas réalisé un grand match au centre du terrain, au contraire d’Andres Iniesta qui, dès sa montée, s’est révélé dans un bon jour.
Le Barça déroula jusqu’à la fin de la partie. La Real Sociedad devint de moins en moins dangereuse et les deux équipes rendirent finalement les armes sur ce score de 0-2. Barcelone s’impose donc et engrange trois nouveaux points.
La blessure d’Edmilson
Un des moments forts de la seconde période fut la blessure de José Edmilson. Visiblement fort touché à un quart d'heure de la fin, José Edmilson quitta la pelouse, accompagné du docteur Gil Rodas. Mais dès la 80ème, le joueur brésilien remonta sur le terrain, les trois changements ayant été réalisés.
Comment comprendre les ordres de Frank Rijkaard ? Il est en effet absurde de faire jouer un joueur blessé avec un tel avantage au score… Mais la réponse à cette énigme tomba lorsque le joueur provoqua une carte jaune pour perte de temps quelques minutes après son retour. En conséquence, Edmilson sera suspendu pour la prochaine rencontre, face à Getafe !
Beaucoup de supporters Blaugranas
De nombreux supporters avaient fait le déplacement jusqu’au Pays Basque. Au total, ce sont 7 autocars affrétés par le club qui se sont rendus à San Sebastián. Les aficionados ont fêté avec joie la victoire.
Barcelone rejouera ce mardi
Mardi prochain déjà, le Barça participera à un nouveau match de Liga, cette fois face à Getafe (21h00). Les Madrilènes se rendront au Camp Nou avec l’espoir d’obtenir un bon résultat tandis que le Barça devra confirmer son statut de leader.
Le week-end prochain, Barcelone se déplacera du côté de l’Andalousie pour affronter Malaga. La rencontre, qui commencera le samedi à 20h00, sera arbitrée par Rodriguez Santiago... l’homme en noir qui avait expulsé Ronaldinho d’une injuste carte rouge directe en Coupe du Roi !
Fiche technique
Real Sociedad: Alberto; López Rekarte, Viafara, Labaka, Garrido; Mark González (Uranga, 77'), Mikel Alonso, Garitano, Stevanovic (Alvaro Novo, 77'); Nihat et Skoubo (Prieto, 45').
FC Barcelone: Valdés; Oleguer, Puyol, Márquez (Iniesta, 15'), Gio; Van Bommel, Edmílson, Deco (Sylvinho, 77'); Larsson (Giuly, 70'), Eto'o et Ronaldinho.
Goals: 0-1, Larsson ('7); 0-2, Eto'o, (50').
Arbitre: Vicente José Lizondo Cortés. CJ : Garrido (48'), Mikel Alonso (76'), Puyol (58'), Edmílson (89').
Stade: Anoeta (32.000 personnes).
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Barcelone jouera samedi soir face à la Real Sociedad
17/03/2006 19:24
17 mars - Actualité - Liga - FC Barcelone
Avoir de l'argent, c'est bien, mais il faut aussi savoir comment bien le dépenser. Une logique qui s’applique aussi en foot ! La preuve en est qu’il ne sert à rien d’engranger des points, si ce n’est pas pour un jour les consommer.
C’est ainsi que le week-end dernier, le Barça s'est payé le luxe d'une défaite qui n'a quasiment eu aucune conséquence au classement. Barcelone a des points à revendre et il compte bien en profiter. Ce samedi soir, les Catalans partiront une nouvelle fois avec neuf longueurs d'avance sur ses premiers poursuivants, un avantage qui doit permettre aux Blaugranas de jouer sereinement.
Défait par Osasuna, le Barça doit se reprendre
Après une étape du côté de Pampelune dimanche dernier, le Barça retrouve la Liga avec un nouveau déplacement dans le nord de l'Espagne. L'équipe de Frank Rijkaard jouera en effet samedi soir (20h00) face aux Basques de la Real Sociedad.
Le week-end dernier, la Real Sociedad était allé s'imposer sur la pelouse du Riazor en battant le Deportivo sur le score de 0-1 : le but était signé Garitano dès le début de la seconde période. Cette victoire semble avoir redonné des ailes au club qui avait essuyé quatre défaites consécutives. "La victoire face au Deportivo nous permet de préparer ce match face à la meilleure équipe du championnat avec plus de tranquillité, expliquait le président de la Real, Miguel Fuentes. Vous savez, gagner contre Barcelone, c'est difficile, mais c'est possible".
La théorie avancé par le président basque est justifiée puisque les Catalans sortent d'une déroute face à Osasuna. Lors de la dernière journée, Barcelone s'étai incliné après une boulette de Victor Valdés et un penalty fantôme d'Edmilson.
Recours pour la suspension d'Edmilson
Par ailleurs, le FC Barcelone a décidé cette semaine de réaliser les démarches nécessaires pour annuler la seconde carte jaune de José Edmilson. Sur la phase du penalty simulé par Savo Milosevic, l'arbitre avait exclu le Brésilien. Jeudi soir, le Comité a annoncé qu’il avait accepté la requête et Edmilson pourra donc jouer samedi.
Un mot sur Lizondo Cortes, l'arbitre de la rencontre. En 12 rencontres sifflées par l'arbitre valencian, l'équipe locale et l'équipe visiteuse l'ont emportées chacune à 5 reprises. Rajoutons que Lizondo Cortes est plutôt amateur de cartons puisqu'il possède une moyenne de 6,6 cartons par match. Enfin, il signale 1 fois sur 4 un penalty durant la rencontre, mais toujours en faveur des joueurs locaux...
Prochain match : Getafe
Mardi, Barcelone jouera une nouvelle fois pour le compte de la Liga. Le Camp Nou recevra les Madrilènes de Getafe à l'occasion de la 29ème journée. La partie débutera à 21h00.
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Marquez, sollicité par Chelsea, veut rester à Barcelone
16/03/2006 15:19
16 mars - Actualité - Marquez - FC Barcelone
Il ne lui reste qu’une année de contrat avec le FC Barcelone, il serait courtisé par Chelsea mais lui n’a qu’une envie : finir sa carrière au Barça.
Rafael Marquez s’est montré agréablement surpris de l’intérêt de Chelsea à son égard, mais il espère « parvenir rapidement à un accord » pour prolonger son contrat avec le club et, même, finir sa carrière sportive avec le club catalan. Selon diverses sources, Chelsea aurait offert au mexicain de doubler son salaire (actuellement il toucherait 1,25 millions d’euros plus les primes).
Marquez est arrivé au sein de l’équipe de Rijkaard au cours de l’été 2003, en provenance de l’AS Monaco pour environ 5 millions d’euros. Le montant de sa clause libératoire est évalué à 25 millions d’euros et il est l’un des rares joueurs de l’effectif qui n’ait pas vu son contrat revu à la hausse. « Il me reste 1 an de contrat. Ma priorité est de rester à Barcelone et je ne sais rien au sujet de l’offre de Chelsea. »
Il reconnaît être surpris par le supposé intérêt de l’équipe de Roman Abramovich. « Je ne sais pas si c’est officiel ou non, mais qu’ils s’intéressent à moi ainsi me flatte et cela montre que les autres équipes sont attentives au travail que je fournis. »
Le meilleur moment de sa carrière
Le capitaine de la sélection mexicaine, âgé de 26 ans, souligne qu’il connaît actuellement le meilleur moment de sa carrière. « Physiquement, je me sens bien. Je suis au top pour pouvoir bien finir le championnat et jouer le Mondial » déclare le joueur barcelonais. « J’ai gagné en assurance en me sentant valorisé mais ça m’a demandé beaucoup de travail. J’ai le sentiment d’être un élément important pour le club et l’équipe » explique Marquez, qui reconnaît que lui-même s’était surpris par son niveau de jeu cette saison. « Il m’arrive encore de me surprendre par mon niveau de jeu actuel. J’ai gagné en maturité en tant que joueur et j’ai énormément travaillé pour atteindre ce niveau » insiste-t-il.
Dans tous les cas, Marquez ne se voit pas changer d’air « Je n’ai pas envie de jouer dans le championnat anglais, un championnat que je respecte, mais il ne m’attire pas. Je préfère de loin le football italien, mais ce serait pour après.»
Le polyvalent joueur mexicain rappelle aussi qu’il a rejoint Barcelone en acceptant de gagner moins d’argent qu’à Monaco, avec un contrat à salaire fixe plus une série de primes, parce qu’il était intéressé par le fait de faire parti du projet de relance du Barça. « Je suis prêt à trouver un arrangement mais quand le temps sera venu » dit-il. Par ailleurs, Marquez explique aussi qu’il a entrepris les démarches pour obtenir la nationalité espagnole, un passeport qui lui ouvrirait bien des portes. « C’est en bonne voie, les démarches suivent leur cours »
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Milan et Barcelone s'affrontent en hommage à Albertini
15/03/2006 13:16
14 mars - Actualité - Albertini - FC Barcelone
Mercredi soir, le FC Barcelone et le Milan AC vont s'affronter à San Siro à l'occasion d'une rencontre en hommage à Demetrio Albertini (21h00).
Lorsqu'il est arrivé à Barcelone début 2005 pour aider le Barça, nous avions réalisé son portrait. Voici quelques extraits.
Dans l’ombre de Rijkaard…et de Guardiola.
En 1988, à 17 ans à peine, Demetrio Albertini intègre le Milan AC alors dirigé par Arrigo Sacchi. Ce dernier le fait débuter en Série A contre Côme le 15 janvier 1989, il n’a même pas 18 ans.
C’est ainsi qu’au contact de Carlo Ancelotti et Roberto Donadoni, qu’il apprend la rigueur et l’implication qu’impose le poste de milieu défensif, qui plus est en Italie. Puis il est prêté à Padova, en Série B, pour la saison 90-91, afin de s’aguerrir et d’avoir un maximum de temps de jeu pour poursuivre sa progression. D’autant qu’à Milan, un certain Frank Rijkaard règne sans partage sur l’empire du milieu (de terrain). Avec Padova, il prend part à 28 matchs et inscrit 5 buts.
Après cette saison passée dans la division inférieure, Fabio Capello, le nouvel entraîneur du Milan AC, le fait revenir au club et lui offre la possibilité, à tout juste 20 ans, d’intégrer ce qui va devenir « la machine à gagner Rossoneri des années 90 ».
Arrigo Sacchi devient, entre temps, sélectionneur national et l’appelle dès 1991 au sein de la Squadra Azzura. Il dispute son premier match contre Chypre le 21 décembre 1991.
Il connaît alors une progression similaire à un autre joueur qui évolue à Barcelone : Josep « Pep » Guardiola.
La presse italienne compare en permanence ces deux jeunes joueurs au profil si semblable : récupération de ballons, organisation et distribution du jeu. Et ironie du sort, c’est contre justement le Barça dirigé alors par Johan Cruyff, et face à Guardiola, qu’il va se démarquer définitivement de ce même joueur - qui en 1992 l’avait devancé à l’élection du meilleur espoir européen de l’année – lors de la finale de la Coupe des Clubs Champions en 1994, remportée 4-0 par le Milan AC.
Dès lors, pour tous les observateurs italiens il devient la référence à son poste, au passage il y gagne aussi un surnom.
« Le Métronome » : palmarès éloquent, carrière exemplaire
Au fur et à mesure des saisons aussi bien dans le championnat d’Italie que sur le plan européen, Demetrio Albertini se construit une réputation de formidable milieu de terrain défensif et accumule les trophées : 5 fois champion d’Italie (1992, 93, 94, 96 et 99), 3 Super Coupes d’Italie (1992, 93 et 94), 1 Coupe d’Europe des Clubs Champions (1994) et 1 Super Coupe d’Europe la même année.
Il joue 293 matchs de championnat avec le Milan AC, pour 21 buts, et 63 matchs en Coupe d’Europe (50 en Champions League et 13 en UEFA), pour 5 buts.
Sur le plan international, il est appelé 79 fois en équipe d’Italie et participe à 2 Coupes du Monde (1994 et 1998), jouant la finale perdue en 1994 aux Etats-Unis, ainsi que 2 Championnats d’Europe (1996 et 2000) et encore une place de finaliste face à la France en 2000.
Demetrio Albertini est reconnu pour sa présence physique (1,81m. pour 77kg), sa clairvoyance dans la construction du jeu et sa formidable frappe de balle qui fait de lui un joueur à craindre sur coup de pied arrêté, et tout particulièrement sur les coups francs.
Des qualités qui lui ont permis après 15 années passées au Milan AC, « son club », de pouvoir tenter l’aventure hors du championnat italien.
Il décide de s’engager avec l’Atletico Madrid pour la saison 2002/03, équipe avec laquelle il participe à 28 rencontres de championnat et marque 2 buts. Mais sans doute déçu par les résultats du club et peut être pas au mieux dans le jeu, il quitte la capitale espagnole, et revient dans le Calcio l’année suivante en signant à la Lazio de Rome, qui en plus dispute la Ligue des Champions. Il prend part à 23 matchs de championnat et 8 sur le plan européen.
En 2005, Demetrio Albertini avait rejoint l’équipe de Bergame, nouveau promu en Série A, séduit par le discours et les méthodes de l’homme qui entraînait l’équipe jusqu’alors : Andrea Mandorlini. Malheureusement les résultats ne suivent pas et l’entraîneur est remplacé par Delio Rossi. Albertini semble perdre goût au jeu, de surcroît il est gêné par un problème au genou droit qui l’oblige à subir une légère intervention chirurgicale et un repos forcé.
Début 2005, le Barça est en proie aux difficultés sur le plan « humain » : blessures de joueurs, effectif limité, et le club est à l’affût de renforts capables de se fondre rapidement dans l’équipe et de s’intégrer le mieux possible aux exigences de jeu de son entraîneur.
Sur certains dossiers, les négociations n’avancent pas ou plus, le temps presse et Frank Rijkaard ne tarde pas à entrer en contact avec un joueur qu’il a bien connu autrefois. Le seul problème : Demetrio Albertini est lié par contrat à l’Atalanta Bergame jusqu’en 2006.
Mais pour l’ensemble du staff technique, il ne fait aucun doute qu’en dépit de son âge, 33 ans, il a le profil idéal de joueur recherché : jouant au devant de la défense, excellent récupérateur de ballons et surtout premier organisateur du jeu de par sa position mais surtout sa technique et sa vision du jeu.
Frank Rijkaard connaît bien le joueur et l’homme, avantage indéniable pour accélérer son intégration au groupe, mais surtout ce qu’il apprécie avant tout c’est sa mentalité : « c’est un gagneur né » !
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